avril, mai, juin 2025 N° 78
 
LA LETTRE DES AMIS

Les bijoux amazighs sont plus que de simples ornements :
ils symbolisent la protection, l'identité et l'héritage familial.
Souvent portés lors de cérémonies importantes,
ils incarnent la richesse de la culture berbère.   

ENTRE AMIS

Chères Amies, chers Amis, 

Le printemps s’installe doucement sur la Méditerranée, et avec lui, souffle un vent d’enthousiasme et de renouveau dans notre belle société des Amis du Mucem. 
Le 3 avril dernier, nous nous sommes retrouvés nombreux à l’occasion du séminaire des bénévoles - un moment fort de l’année, marqué par la convivialité, l’échange et une belle énergie collective. Cette journée a permis d’annoncer et de commenter en détails le programme à venir du Mucem, d’exprimer les envies pour demain et surtout de rappeler le rôle précieux que chacun d’entre vous joue dans la vie de la société des Amis. Merci à tous les participants pour leur engagement, leur curiosité et leurs propositions. Ensemble, nous faisons plus que soutenir le Mucem, nous faisons communauté ! 
Et puisque nous parlons de souffle nouveau : préparez-vous à accueillir une œuvre monumentale ! Le 16 avril prochain, Zeus, le cheval métallique de l’ouverture des Jeux Olympiques fera son entrée spectaculaire sur l’esplanade du J4. Cette sculpture saisissante s’installe pour quelques jours à Marseille tandis que trois costumes de la cérémonie d’ouverture, don au musée, vont entrer dans l’exposition « Populaire ? ».  
Enfin samedi 5 avril, la restauration en terrasse du Mucem a rouvert, sous la houlette d’Alexandre Mazzia, sur le toit du J4. Le restaurant ouvrira en octobre. Comme auparavant votre carte des Amis vous y donnera des privilèges : à suivre !  
Plus que jamais, restons curieux, présents, et solidaires. Les Amis du Mucem vivent grâce à vous et pour vous. 


Florence 

DU CÔTÉ DES AMIS

Vue générale

La visite de l’exposition « LA NAVALE » par Gilbert Cardi

À l’initiative de Nicolas Binet, les Amis du Mucem inscrits à deux visites ont pu découvrir une expérience de vie professionnelle sur les quais de Marseille au travers de l’exposition LA NAVALE. Un retour sur une activité industrielle marquante de l’histoire de Marseille.  
Daniel Frot, le directeur de l’association LA NAVALE, nous a fait découvrir le monde fascinant de la construction et de la réparation navale, tant sur le plan technique avec ses 250 métiers différents, que sur le plan économique.  
Au moment de son apogée, la construction navale à Marseille représentait une force d’environ 10 000 personnes.
Visite en cinq étapes : 

1 - La forme 7 (toujours en activité) 
Il s’agit d’une fosse qui accueille les bateaux pour être mis à sec, portant le nom de cale sèche. 
Dans la cale alors vide d’eau, les ouvriers travaillent sur la coque d’un bâtiment déjà posé sur les tins (cales à plusieurs étages), avec des blocs de béton, puis des éléments en bois massif dont la dernière couche d’épaisseur est en peuplier. 
Sur le quai voisin, nous pouvons admirer le bateau à vapeur le SS DELPHINE, fabriqué en 1910 aux USA. Ce bateau a accueilli à son bord en pleine mer les représentants des USA, de l’Angleterre et de la Russie pour préparer les accords de Yalta. 

Détail du positionnement des tins

2 - La fabrication des hélices 
Comme dans toute fonderie, c’est dans un atelier que l’on fabrique le moule en deux parties : le moule bas et le moule haut. 
La personne qui nous explique le processus revit les gestes professionnels et sa jeunesse. C’est très émouvant. 
La coulée ne doit pas faire remonter la partie supérieure du moule. Il faut du doigté et un bon coup d'œil. 
Pour donner une idée, l’ensemble du moule après la coulée pour une hélice de 30 T représente un bloc de 800 T. 
La vérification de la forme de chaque pale est effectuée avec des instruments de précision et  chaque bosse sera meulée avant d’être poncée et polie. 

Lire la suite

La newsletter de l'International Circle 

REGARD
Le regard
d'Hélène Homps,
directrice du musée de la Vallée,

La Sapinière à Barcelonnette
 
Interview de Catherine Cupillard 

Quelle est l’histoire du musée ?
Les collections du musée municipal de Barcelonnette remontent au 19e siècle, rassemblées par des collectionneurs et érudits locaux, tels que le notaire François Arnaud (1843-1908), ou le voyageur-naturaliste Émile Chabrand (1843-1893) qui lègue, en 1893, à la ville de Barcelonnette son « cabinet de curiosités ». Au début du 20e siècle, le relais est pris par le sénateur bas-alpin André Honnorat (1868-1950), en collaboration avec Marcel Provence (1892-1951), ethnographe provençal, qui concourt à l’enrichissement du musée et s’investit auprès des Bas-alpins émigrés au Mexique.
Désireux de documenter « l’œuvre accomplie par les Barcelonnettes au Mexique », André Honnorat part à leur rencontre en 1922, et recueille photos et documents témoignant de leur vie en terre américaine. Un travail de collecte à l’origine du fonds dédié à la mémoire de l'émigration que l’on a beaucoup développé et qui constitue, aujourd’hui, une collection originale, voire inédite. Enfin, en sa qualité de ministre de l’Instruction publique et des Beaux-arts (1920-1921), s’intéressant particulièrement aux musées et aux bibliothèques, André Honnorat achète pour le musée municipal, tout ce qui concerne              « Barcelonnette » et son histoire.
Pendant plusieurs décennies, le musée végète. Deux ans seulement après la création du service des musées de France (1945), Barcelonnette et son musée accueillent le célèbre conservateur du musée national des Arts et Traditions Populaires (Paris), Georges Henri Rivière, qui conseille alors aux édiles d’encourager les dotations de leurs compatriotes « mexicains » mais aussi de demander au musée de l’Homme à Paris « un certain nombre de doubles » afin que le musée dispose « d’objets mexicains, anciens et authentiques » ! Dans les années 1960-1980, le musée municipal vivote, installé au 1er étage de l’Hôtel de ville qui abrite (aussi) le Tribunal de justice et la Caisse d’épargne, alors que le cabinet de curiosité d’Émile Chabrand est toujours conservé dans son ancien musée laissé à l’abandon.
Tout bouge dans les années 80 ! L’association Sabença de la Valéia (qui signifie Connaissance de la Vallée), présidée par Pierre Martin-Charpenel, élu de Barcelonnette, décide de réveiller le musée. Alain Nicolas, conservateur du musée des Arts africains, amérindiens et océaniens à Marseille (MAAOA), est sollicité pour superviser les membres de l’association, néophytes, en vue de réaliser l’inventaire et le récolement des collections. Au même moment, la commune de Barcelonnette confie à une architecte muséographe de Marseille, Régine Got, l’élaboration d’un véritable équipement muséographique qui sera installé dans la villa La Sapinière, léguée en 1971 à la ville de Barcelonnette par son dernier propriétaire, Antoine Signoret, mort au Mexique, avant d’être inauguré, en mars 1988, sous le nom de « Musée de la Vallée ».

Quelle est la spécificité du musée ?
Faisant régulièrement de l’accueil au public, aux visiteurs qui me demandent    « qu’est-ce qu’il y a à voir dans ce musée ? », je réponds souvent : « notre musée est une table d’orientation pour comprendre à la fois les paysages et les parcours de vie des habitants de la vallée de l’Ubaye, depuis la protohistoire jusqu’à nos jours ». C’est effectivement un musée qui raconte des histoires, dévoile des parcours de vie, que ce soit celui de l’archéologue amateur, François Arnaud qui collecte les bronzes et parures funéraires, ou celui d’André Honnorat qui se mobilise pour la naturalisation des immigrants piémontais, ou celui des marchands-colporteurs dont on a identifié les visages, les noms et qui voyagent vers les Flandres et au Luxembourg et enfin, ceux des Ubayens qui vont partir s’installer aux Amériques…
L’autre particularité du musée est sa localisation, situé dans une élégante villa édifiée en 1878, de retour du Mexique, par Alexandre Reynaud, père de l’homme d’État français Paul Reynaud (1878-1966). On propose ainsi une double visite : celle d’une villa de trois étages, qui a conservé ses éléments de décor, ses parquets en marqueterie, ses vitraux Art Nouveau, et son cabinet de bain en faïence, également « art nouveau », identique à celui des cabines de bain de grand luxe de l’établissement thermal de Vichy, et celle d’un musée, qui raconte et présente l’histoire des habitants de cette vallée alpine ouverte sur le monde.

Lire la suite

DU CÔTÉ DU MUCEM
Expositions en cours
 
Laure Prouvost.
Au fort, mes âmes sont

Fort Saint-Jean
 
Du 2 avril au 28 septembre 2025 

Entre avril et septembre 2025, l’artiste vidéaste Laure Prouvost investira plusieurs espaces insoupçonnés du Mucem. Ses installations inviteront à savourer histoires et création au sein des murailles du fort Saint-Jean, dans une célébration poétique de la lumière et des vagues qui baignent le musée.

En savoir plus

Amazighes -
Cycles, parures, motifs

GHR
 
Du 30 avril au 2 novembre 2025 

L’exposition présente environ 150 objets et œuvres du XIXe siècle à nos jours, issus principalement des collections du musée Pierre Bergé des arts berbères à Marrakech et du Mucem. Parmi eux figurent bijoux, sculptures, outils, photographies, objets rituels et tapis assurant la pérennité des traditions et de l’héritage culturel. 

En savoir plus

Conférences à l'UTL de Marseille :
29 avril 2025, 16h15 
« Populaire ? Vous avez dit populaire ? Qu'est-ce cela veut dire ? Exactement ce que ça dit. Merci de m'en dire un peu plus » par Régis Bernard, sociologue, Université de Lyon 
13 mai 2025, 16h15 
« Le vitrail au coeur et à l'esprit » par Dominique Imbert, maître verrier 
6 juin 2025, 16h15 
« Lire le ciel. Vivre avec les étoiles en Méditerranée » par Enguerrand Lascols, conservateur du patrimoine et commissaire de l'exposition au Mucem. 
LECTURES

Gabriel Camps 

 

Les Berbères. Mémoire et identité
Editions Actes Sud 
352 pages

Cet ouvrage propose une étude complète de l'histoire et de l'identité berbères, prenant en compte toutes les disciplines - archéologie, géographie, ethnologie, linguistique, arts... - avec une exigence scientifique et une qualité de synthèse qui en font aujourd'hui encore une référence aussi incontestée qu'inégalée.
Laure Prouvost 

 

Palais de Tokyo
Les presses du réel
240 pages, édition bilingue

Généreux et plein d'humour, le travail de Laure Prouvost examine les relations entre langage, image et perception, plaçant le visiteur dans des situations de doute et d'incompréhension, mais aussi d'émerveillement intellectuel et sensoriel. Ces situations deviennent des installations immersives qui invitent à l'évasion.
ÉCOUTER, VOIR
MARSEILLE
Château Borély
Infiniment bleu 
 
Jusqu'au 15 février 2026
 
Après la mise à l’honneur du jaune en 2023, le « Musée de la faïence, des arts décoratifs et de la mode » fait le choix de proposer cette année un focus sur la couleur bleue, dans toute ses déclinaisons chromatiques, du XVIIIe siècle à nos jours, en partant des œuvres issues de la collection permanente du musée. Ce choix n’est pas étranger au positionnement du musée près de la mer et à l’histoire de la Méditerranée. 
 
Centre de la Vieille Charité
Laure Prouvost
 
Du 25 avril 2025 à janvier 2026

Une installation de Laure Prouvost occupera l’espace de la Chapelle. Elle fera écho à l’exposition des installations immersives de l’artiste qui seront mises en œuvre au Mucem (2 avril - 28 septembre). 
Tatouages en Méditerranée
 
Du 17 mai au 28 septembre 2025

Exposition proposée en partenariat avec le Museo delle culture de Milan et basée sur une enquête approfondie concernant les pratiques du tatouage de l’Antiquité à nos jours. Peintures, sculptures, photographies, vidéos, modes et objets du quotidien seront réunis dans un parcours associant les apports de l’histoire, l’histoire de l’art, l’archéologie, l’ethnologie et l’anthropologie.
Friche la belle de mai 
Âmes vertes - Quand l'art affronte l'anthropocène
 
Jusqu'au 1er juin 2025

Exposition collective regroupant 22 artistes et 5 architectes : installations monumentales, photographies, tapisseries et autres œuvres qui déplacent le regard du public sur les problématiques environnementales. 

En savoir plus
 
Comme un printemps je serai nombreuse 
 
Jusqu'au 8 juin 2025

Cette exposition est également collective, autour de l’autrice et poète Sonia Chiambretto qui questionne avec huit artistes le mot « émeute » et les problématiques des quartiers populaires urbains. 
 
PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR


Musée de la Banque, Hyères

Warhol
 
Jusqu'au 6 juin 2025

Icône de la transgression, curieux de tout essayer, en balance entre le populaire et le marchand, il est l’apôtre des portraits en série à plat et colorés. Un peu touche à tout, il accueillit dans sa « Factory » tous les arts et artistes non conventionnels de son époque.  

En savoir plus

Musée Matisse, Nice

Matisse Méditerranée(s) 

 
Du 7 mai au 8 septembre 2025

Comme le peintre applique le pinceau sur sa palette, Matisse a trempé dans les couleurs de la Méditerranée qui l’a séduit par sa lumière, son histoire, son ouverture sur l’Orient. Avec des tableaux peu vus jusqu’à présent, cette exposition illustre parfaitement le lien entre la Mare Nostrum et l’artiste. 
 

Musée des Curiosités - Eglise des Célestins, Avignon

Curiosités

 
Jusqu'au 15 juin 2025

Dans le cadre de « Avignon Terre de culture » qui se déroule dans tous les lieux d’exposition de la ville, le Musée des Curiosités accueille le Musée International des Arts Modestes de Sète fondé par Hervé Di Rosa le chantre de l’art modeste.

En savoir plus

AUTRES RÉGIONS

Musée Louvre-Lens

S’habiller en artiste. L’artiste et le vêtement
 
Jusqu'au 21 juillet 2025

De la Renaissance à nos jours, l’exposition proposée fait le pari réussi d’analyser l’histoire du vêtement qui peut-être une œuvre, l’œuvre à l’inverse pouvant elle-même être un vêtement, langage que les artistes n’ont eu de cesse d’explorer jusqu’à aujourd’hui.
 

Musée Soulages, Rodez

Geneviève Asse. Le bleu prend tout ce qui passe
 
Jusqu'au 18 mai 2025

Le bleu de Geneviève Asse est insaisissable, inscrit dans l’infini entre mer et ciel. Sa peinture est informelle et subtile. Il faut la regarder longuement pour que sa lumière vous traverse et vous apaise. Cette grande artiste (1923-2020) est aussi à l’honneur à la BNF de Paris jusqu’au 25 mai 2025.
 
PARIS ET SES ENVIRONS
Musée des Arts Décoratifs, Paris
Mon ours en peluche

Jusqu'au 29 juin 2025

Né en Allemagne au début du XXe siècle, l’ours en peluche est devenu le « Teddy Bear », le « doudou » des enfants, et aujourd’hui la mascotte du réchauffement climatique. Une exposition un tantinet régressive, mais qui s’adresse autant aux enfants qu’aux adultes… « Bonne nuit les petits », « Petit ours brun » mais aussi Winnie ou Paddington…

 
 
Musée du quai Branly - Jacques Chirac, Paris
Au fil de l'or

Jusqu'au 6 juillet 2025

Découvert il y a près de sept mille ans, l’or fascine les hommes. Après en avoir fait des bijoux et des armes, le fil d’or dès le cinquième millénaire avant notre ère, est devenu tissu et ornement d’étoffes de luxe. Cette exposition nous transporte des bords de la Méditerranée jusqu’au Japon, où selon différentes techniques, le vêtement d’apparat grâce à ce métal précieux, s’est sublimé.
 

EUROPE, MÉDITERRANÉE

Museum für Gestaltung, Zurich, Suisse 

Manifestes textiles - du Bauhaus à la soft sculpture

Jusqu'au 13 juillet 2025

L’exposition fait se côtoyer des pièces anonymes et des compositions célèbres, telles que celles de Gunta Stölzl ou d’Elsi Giauque. Il en résulte des voisinages surprenants qui rassemblent des visions comparables par-delà les époques.   


En savoir plus

Musée d'ethnographie Neuchâtel, Suisse

Cargo Cults Unlimited
 

Prolongée jusqu'au 18 janvier 2026 

A partir du port à containers, lieu du « culte des cargos », l’exposition analyse, par une présentation en « casiers », tous les concepts liés aux échanges mondialisés : notions économiques, valeurs morales, zones grises, croissance, marchés, bénéficiaires et victimes.
                                                                                En savoir plus
 

Tate Liverpool, Angleterre  

The Plant that Stowed Away

Jusqu'au 11 mai 2025

À travers les œuvres d'art de la collection de la Tate, « The Plant that Stowed Away » (la plante, passagère clandestine) retrace les liens entre l'histoire commerciale de villes comme Liverpool et les mouvements mondiaux de plantes et de personnes. 
 
T

Musée de la Mode d'Anvers, Belgique 

Mode & Intérieurs. A Gendered Affair

Jusqu'au 3 août 2025

L’architecture étant une affaire masculine, la décoration intérieure fut confiée aux femmes jusqu’au début du XXe siècle. Des architectes envisagent alors un « art total » : tous les accessoires, vêtements, bijoux, étant traités en harmonie. Les « modernistes » poursuivent ce mouvement en l’épurant encore. Cette exposition montre cette évolution historique jusqu’à nos jours. 
Mudec, Milan, Italie
Travelogue. Carnets de voyages, de migrations et diasporas

 
Jusqu'au 21 septembre 2025
 
Cette exposition invite à une nouvelle compréhension du tourisme et du voyage, en abordant les voyages mythiques, les thèmes du nomadisme, du voyage mais aussi le thème de la migration et de la diaspora à travers une sélection d'objets liés au voyage, rapportés par des citoyens, des chercheurs, des voyageurs, des hommes d'affaires ...

En savoir plus


Musée national Thyssen-Bornemisza, Madrid, Espagne
Proust et les arts 
 
Jusqu'au 8 juin 2025

Cette exposition illustre l'importance des liens entre Marcel Proust et le milieu artistique de son temps et souligne les relations et l'interdépendance entre l'art et Proust, sa vie et son travail. 
 


Musée Yves Saint Laurent, Marrakech, Maroc

The Hamish Bowles Collection

Jusqu'au 4 janvier 2026

Le musée en confiant pour la première fois une carte blanche à l’un des plus importants historiens de mode et collectionneurs privés de la seconde partie du XXe siècle, Hamish Bowles, explore le point de vue singulier de celui-ci à travers les 55 pièces vintages provenant directement de son vestiaire personnel. 
 
 
                  Bande-annonce
                 
En savoir plus
Crédits
Portrait d'Hélène Homps, 2023 ©Y. Tenagli
● Laure Prouvost, Marseille, 2024
 ©Edwige Lamy
● Parure pectorale : paire de fibules [tizerzaï] et chaîne, dites fibules du « bélier ». Ilhanane, région d'Essaouira, fin 19e-début 20e siècle. Argent. 17x14 cm ; largeur totale : 103 cm. Musée Pierre Bergé des arts berbères - Fondation Jardin Majorelle, Marrakech ; photo : Nicolas Mathéus

● Friche la Belle de Mai, Toit-Terrasse ©Caroline Dutrey
● Billy Name, Andy in Factory, 1965, 29,7 x 42 cm. The Andy Warhol Foundation for the Visual Arts Inc. / Licended by ADAGP, Paris, 2025

● Georges-Achille Foul, Rosa Bonheur dans son atelier, 1893, huile sur toile, Musée des Beaux-Arts, Bordeaux , Bordeaux ©Mairie de Bordeaux - F. Deval
● Geneviève Asse, Horizontale Bleue 1972, Collection de Bueil & Ract-Madoux
● Steiff, Ours, 1910-1912 ©Les Arts Décoratifs / Jean Tholance 

● Henri Matisse, La Danseuse, 1949, Tate
● Jacques-Emile Blanche, Portrait de Marcel Proust, 1892, huile sur toile,    73,5x60,5 cm, Musée d'Orsay, Paris. Grand Palais RMN (Grand Palais) / Hervé Lewandowski
● Ensemble en patchwork éclatant de couleurs d'une collection de 1969 ©Jardin Majorelle, photo : Marco Cappelletti  
La lettre des Amis du MUCEM
Adresse postale : CS 10351 – 13213 Marseille Cedex 02
contact@amisdumucem.orgwww.amisdumucem.org
Directrice de la publication : Florence Bistagne
Rédactrice en chef : Maud Ferrebœuf Huhle
Comité de rédaction :
Odile Billoret-Bourdy, Catherine Cupillard, Jean-Claude Groussard,
Catherine Lefèvre, Jean-Louis Maltret, Monique Pingrenon,
Alain Provansal, Françoise Semont
Logo : Christophe Billoret

Conception graphique et maquette : Maud Ferrebœuf Huhle
Copyright © 2025 Société des Amis du Mucem, All rights reserved.


Want to change how you receive these emails?
You can update your preferences or unsubscribe from this list.

Email Marketing Powered by Mailchimp